<meta name='google-adsense-platform-account' content='ca-host-pub-1556223355139109'/> <meta name='google-adsense-platform-domain' content='blogspot.com'/> <!-- --><style type="text/css">@import url(https://www.blogger.com/static/v1/v-css/navbar/3334278262-classic.css); div.b-mobile {display:none;} </style> </head><body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar.g?targetBlogID\x3d35450967\x26blogName\x3dL\x27%C3%89cume+des+blogues\x26publishMode\x3dPUBLISH_MODE_BLOGSPOT\x26navbarType\x3dBLUE\x26layoutType\x3dCLASSIC\x26searchRoot\x3dhttps://lecumedesblogues.blogspot.com/search\x26blogLocale\x3dfr_CA\x26v\x3d2\x26homepageUrl\x3dhttp://lecumedesblogues.blogspot.com/\x26vt\x3d9132653264039123286', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe", messageHandlersFilter: gapi.iframes.CROSS_ORIGIN_IFRAMES_FILTER, messageHandlers: { 'blogger-ping': function() {} } }); } }); </script>

Mais l'ange, sombritude et marée mimosa.

mercredi, novembre 29, 2006


(Ceuillir des éclats de soleil contre tes lèvres goût d'orange.)

Tissent à la voie lactée contre.

Écumé par Anonyme
15:13

4 commentaire(s)

Second texte de notre amie Do.
Paroles de Jacques Brel

***

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile

Telle est ma quête
Suivre l'étoile
Peu m'importent ma chance
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux

Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.

Écumé par Perrasite
08:24

7 commentaire(s)

Génétique

lundi, novembre 27, 2006


Le crépuscule était le point tournant de mes envies. Son flambeau j'avais en tête et bien qu'il ne fallait pas que ça devienne une habitude, sa génétique m'obsédait. Nous avions rendez-vous à 22h, à l'aéroport. Il me restait donc trois heures à vagabonder dans mes pensées ; à imaginer ses jolies fesses bien posées sur mon divan. Noël avant Noël, voilà ce que serait notre soirée. Aucun détour serait nécessaire, car cette fois, le hasard n'existait pas. C'était l'instant de tous les dangers... parfum d'interdit. Malgré la noirceur, le soleil allait atteindre son apogée et la valse était entammée au creux de mon être. Je me voyais m'épanouir entre les bras de mon Aragon: ma passion, ma source.

Le temps s'éfeuillait et notre nuit de Chine était imminente. Les voyageurs envahissaient l'aéroport et on annonçait l'atterissage du vol en provenance du Luxembourg. Mon Magellan apparu enfin. Irrésistible il était lorsqu'il posa ses mains sur mon visage. Mon dieu du stade était fin prêt pour un voyage dans le bas rein et mon corps lui criait: '' Fais-moi fondre ! ''.

Écumé par Anonyme
15:27

10 commentaire(s)

dimanche, novembre 26, 2006


A l’instar de Kansas of Elsass, enfilons nos bas résilles et prenons la route à gaine.
Ou le trottoir.
Fantômes des Highways to hell.
Il est des matins de dimanches mélancoliques,
Ou conduire avec les facultés distraites,
A fond la gomme
Jusqu'à Amsterdam
Peut sauver la vie.

Écumé par Miss_Blandish
12:44

2 commentaire(s)

La fin des mécaniques.Ta lady Drama-Queen se Chatte soul pour toi. Take her.

mercredi, novembre 22, 2006


I'm such a drama queen et tu sais. Boire l'espace.
(Si bien que ma bouche se soleil rouge fils. Donne-moi.)

Écumé par Anonyme
15:51

8 commentaire(s)

Note : voici le premier billet de Doparano. On lui souhaite bienvenue à L'Écumoir.


On aura beau dire tout ce qu'on voudra
Oui, c'est un drame déplorable
C'est pas la fin du monde, mais n'empêche
C'est certainement désagréable
Quand c'est mou comme un ver à pêche

Quand ça veut jouer les timides
Le cou cassé, la tête en bas
Plié comme p'tit vieux plein d'rides
À l'âge fringant des soldats

Oui, c'est un manque de politesse
Quand ça s'met pas au garde-à-vous
Quand ça donne des signes de faiblesses
Avant même de se tenir debout

Quand ça a pris la décision
De succomber à la paresse
Qu'ça reste sur sa position
Devant la plus belle paire de fesses

Quelle déception quand vous trouvez
À l'heure de passer à l'action
Le principal intéressé
Qui fait dodo dans son caleçon

Bien sûr, c'est pas la fin du monde
Mais d'là à dire que c'est pas grave
Qu'ça peut arriver à tout l'monde
Qu'ça rend moins beau et moins brave

Moi, j'aurais quand même objection
À faire mention de courage
Quand c'est fuyant comme un savon
Et que ça fond pendant l'massage

J'ai pas l'impression d'être vache
Et de manquer d'compréhension
Mais j'constate qu'y en a qui en arrachent
Ah, les pauvres petits garçons

Y a-t-il un moyen qu'j'pourrais prendre
Un mot d'la fin qu'j'pourrais trouve
Afin qu'enfin bande la bande de dégonflés

Afin de venir, de venir en aide
Aux invalides de la culotte
Sinon de dire qu'y a des remèdes
Et des carottes

Écumé par Perrasite
06:29

12 commentaire(s)

Je tire les dés !!!!

mardi, novembre 21, 2006


Comme je n'ai pas de Feed R.S.S. 3,1416, je me suis inventé un jeu !

À partir d'un blog "ami", cliquer sur 5 liens consécutifs que je n'ai jamais visité.

Je vous ferai donc découvrir (peut-être), 5 nouveaux blogues !!! (5x5=25, je retiens 9, multiplié par... ) ça donne:

1- Pouaahhh !!!! Ça commence bien !!!! À partir du blog du "Geek", je choisi celui de Josianne et me rend compte qu'elle... n'a pas de blogroll !!! Bon et bien, elle vient de faire sauter ses "speakers !!"

2- Merde !!! 2 en 2 !!!! Je tombe sur Accent Grave et il n'a pas de blogroll lui-aussi !!!! Ce n'est vraiment pas de chance !! Moi qui voulait dompter la bloggosphère profonde !!!! Tiens, il écrit un texte très intéressant sur un débat qui tourne mal... Ses propos sont très réfléchis et je suis bien d'accord avec lui !!! Un nouvel ami dans mon blogroll !! Mais lui ne pourra m'ajouter... ;)

Je croise les doigts pour le troisième !!!


3-Humm !!!! Très belle découverte !!!! Une belle écriture, des propos touchants et reflètant très bien ma vie... Et la vôtre sûrement !!! Un peu sur les bords... Oui, elle courait, elle s'est arrêtée, elle ne court plus... repartira-t-elle ????

4- Ohhhhh !!! Encore un No blogroll land !!!! Mais je lui pardonne, c'est un DJ !!!! Activité que je pratique aussi à temps perdu... C'est-à-dire, pas souvent c'est temps-ci !!! Donc, allez faire un tour in Monsieur Seb's house pour «chiller» un peu !!! Avec des extraits audio à découvrir !!! un favori de plus !!!

5- Et pour finir, je tombe sur Le GÉANT !!! Encore un DJ !!??? Un remix techno de tounes de Noël !!!??? Faut que je trouve le programme por entendre ça !!! Je vous en redonne des nouvelles !!!!


Bonne soirée à tous et bonnes découvertes !!!




Écumé par Num
19:38

5 commentaire(s)



Les souvenirs de ton dernier été ont meublé cette journée d’automne
Où, les unes après les autres,
Tes robes de petite fille
Ont défilé devant moi telle une dernière procession
L’âme perdue par l’émotion de ton absence,
L’âme attristée par le vide qui à jamais comblera les espaces où tu habites encore…

L'odeur de ta peau, de la vie qui te portait
Était encore imprégnée dans chaque fibre colorée.
Des restes de parfum de ton être qui me rappellent douloureusement
Combien tu me manques,
Combien tu es loin,
Combien toutes tes jolies robes seront tristes
Puisque tu ne seras plus là pour les remplir de la joie et de la magie qui t’habitaient.

Des roses, des bleues, des jaunes, des rouges,
Qui ne sont habités que par le silence du vide
Que par le vide de toi et
Que par l'espoir que ce passage dans nos vies puisse en illuminer d’autres.

Écumé par La contemporaine contemple
07:00

9 commentaire(s)

lundi, novembre 20, 2006


Un train, une rencontre... Les comètes de ses yeux me laissaient entendre qu'il avait envie de s'abreuver à la source de mes mots. Je n'allais pas lui faire koserie en dilettante. Je lui parlai donc de mes équilibres et de l'assourdissant chuchotement de mon coeur. Mon intimité était maintenant en stéréo et ma résistance faisait partie du passé. Folie passagère, saveurs et coïncidences. Peu importait...

Nous en étions à gravir l'escalier menant au banc d'une nouvelle vie lorsqu'on croisa cette vendeuse de roses. Syriana qu'elle s'appellait... Je l'avais déjà croisé quelques semaines auparavant, dans un de ces lieux communs. Elle avait attrapé la manche de mon manteau pour attirer mon attention et m'avait sourit. Mon regard interrogateur avait croisé le sien et c'est à ce moment qu'elle m'avait dit: '' Oubliez vos histoires d'ex ! La vie est trop courte ! Vous êtes une fille pleine d'espoir... ''. J'étais restée là, scotchée à ces révélations faites par une inconnue aux traits particuliers.

J'attrapai la manche de l'homme qui m'accompagnait et j'interpellai la dame aux roses. Je lui rendis son sourire des semaines précédentes et je lui lançai un simple: '' Merci ! ''. Elle me tendit un caillou tout simple. Décelant mon questionnement, elle me dit: '' Un si petit caillou contient une incroyable force. Lorsqu'on s'y perd, il suffit de se rappeller ce petit bout de chose et de se concentrer sur la force en nous. '' Sur ces mots, elle disparut dans la foule. Tête dans les nuages, c'est d'un pas assuré que j'entrepris la marche, la symphonie de ma vie, notre vie.

Écumé par Anonyme
04:22

18 commentaire(s)

Lilith breath me. Noir c'est rouge. Litanie.

mercredi, novembre 15, 2006





Lilith, tu te gouffres de mots grillés à point.
If you breath with me , how it's gonna end ?

Poème d’amour fly me to the moon. Lilith.
Petite dédicace diamant sur mes ongles. Amants.
Et si jamaisAmplitude. Tu tangues déjà.

Je t’aime déjà. Litanie.

Notre musique de verre, tu tendre déshabilles.
Chapelles de silence au cœur du bruit des habits.
Et si noir c’est rouge…Y a bleu qui jaune tout.

La déchirure en poème d’amour, tu sais ce que ça fais Lilith ?
Et toi, ma vision des choses en zen attitude. En Peter Pan vol.

Contraires.
Contraintes.

Convalescente.

Dans la ville, les nuages et glisse sur le parquet. Fly me to the moon, Lilith c’est Monday noir, c’est ta peau rouge. Le portable allumé et tout ces si jamais. Tout ces diamants en dédicaces.

Écumé par Anonyme
09:03

13 commentaire(s)

mardi, novembre 14, 2006


Chers lecteurs,

Suite à une épidémie d'influenzite, les membres de l'Écume des blogues ont décidé de se rendre à leur congrès annuel afin de discuter d'avantage des impacts futurs de la convergence. De retour lundi prochain !

Et comme on le dit par chez nous, cul-sec, cuisses mouillées ! Bon appétit !


Écumé par Perrasite
20:14

3 commentaire(s)

dimanche, novembre 12, 2006


Depuis dix jours, je parcours les états de New York, Pennsylvanie, New Jersey, avec à la main la bible du touriste beauf français : le "guide du routard".
Certaines rencontres m'ont marquée plus que d'autres. Parmi elles, figurent Adam et Melinda, des amishs habitant près de Strasburg, dans le Comté de Lancaster.
Ces sexagénaires m'ont accueillie humblement dans leur ferme-maison et ont très gentiment répondu à toutes sortes de questions que je me posais sur leur mode de vie et leurs croyances.
Mis à part les aspects "folkloriques" bien connus, j'ai appris, entre autres, qu'ils parlaient l'alsacien et que je pouvais comprendre certaines bribes de conversation, mais aussi que les enfants amishs ne fréquentaient leurs écoles que jusqu'à l'age de quatorze ans et qu'ils étaient peu encouragés à quitter leur communauté.
Pour en savoir plus sur ces anabaptistes, on peut parcourir :
- le blogue des mennonites de Paris,
- celui de Sébastien Fath (bien !), un chercheur du CNRS originaire de Strasbourg spécialisé dans l'étude du protestantisme évangélique,
- et enfin le bloque d'un spécialiste américain, Jim Wallis, en langue anglaise.

La France et la Belgique sont pourvues d'un arsenal juridique consistant contre les sectes.
A tel point que l'Amérique dénonce notre intolérance des religions non officielles.
Je pense que l'explication du positionnement français se trouve partiellement dans notre histoire révolutionnaire et laïque.
Pour se faire une opinion, voici des sites de "chasseurs" de sectes et de défenseurs de la liberté de culte :
- L'association de defense des victimes des sectes (le droit des enfants) ;
- La secte globale.
- Un article du Nouvel Observateur.

Bonne semaine à tous, frères et sœurs, membres de la secte des écumeurs.

Écumé par Miss_Blandish
12:37

7 commentaire(s)

vendredi, novembre 10, 2006




La lumière du matin s’effeuille larmes automnales.

Rouges sable sanglots, des saisons juxtaposées sur les gerçures des heures.

Et à nu le temps, artifices sous verre l’errance de nos blêmes lendemains.


Pourtant, l’amour poésie vulnérables couleurs vies.

Pluriels espoirs.

Croix et décroisés , les secondes anémiées.


Bancals couplets à nos pieds, noircissant les feuilles périssables des aubes mélodies en fuite.

Cataleptiques chants sous les commissures bleuit des nuits désolations.

Car au-delà des visibles envolés, brume l’amer au fond d’un vers solitude.








Écumé par Charlie
05:33

6 commentaire(s)

Noir et white face à rien. Déchirer le temps.

jeudi, novembre 09, 2006


Déchire ailes, fleurs et rancoeur. Siffle l'aube en sirotant soleil.
Elle attends ombre. Regarde. Observe obscène et nue vierge.
Comme on butine la vie, entre le relatif et l’absolu.
Mais on s'aime pas. Surtout pas. Et.
(surtout pas) (surtout pas) s'aimer. Et.
(surtout pas) Et. S'aimer.
Nœuds. Mais enfin. Faut réagir.
Bouffe-moi.
Avant que ne me piège solitude et rempart.

Écumé par Anonyme
06:05

9 commentaire(s)

Des histoires à suivre !!!

mardi, novembre 07, 2006


Bon, tel que promis, un petit résumé de ce qui se passe sur la bloggosphère !!

Pour ceux qui aiment les histoires d'amour, les papillons dans l'estomac et les questions existentielles, L'EX , la féroce Lionne, s'est trouvée une proie !!! Va-t-elle nous révéler de croustillantes anecdotes ou nous tenir en haleine ??? À suivre !!!

Miss50cents, qui chiale déjà qu'elle ne fait pas partie de mon bloggroll alors que je viens juste de la connaître ;) , touche un point avec sa montée de lait sur la musique de Noël qui nous casse déjà les oreilles !!! Elle se fait même toucher par un homme étrange...

Joss tente toujours de se sortir de sa peine d'amour... Et comme nous tous, elle est composée de hauts et de bas... Mais attention !! Revirement de situation !!! Il lance une proposition à son amour de toujours...

Pendant qu'elle se tape une ride en pick-up, Zulie nous propose une liste de posts... faites votre choix !!!

À ne pas manquer !!!! LeBurt nous compte l'histoire de sa vie épisode 3 !!! Si vous ne connaissez pas encore, il faut ABSOLUMENT commencer par les premiers épisodes !!!

Bonne lecture !!!

PS: Perrasites, y'a pas un feed R.S.S 7.9 pour que je puisse suivre les aventures de tous nos amis ??? :DDDDD

Écumé par Num
17:51

9 commentaire(s)

Elles étaient bienveillantes. Trois jours passées chez ma mère sous le Soleil de Scorta à discuter de la maîtresse de Brecht. Les ombres errantes contrastaient avec le rouge Brésil. Ingrid Caven me dit «Je m’en vais». Confidence pour confidence je lui répondis tu veux la Bataille ?

Quelqu’un peut me dire de quoi je parle ? Bonne chance. Oui oui il y a un lien. À gagner : une visite gratuite chez Jo. Vous pourrez vous-y défouler dans un monde rose bonbons.

Écumé par Perrasite
06:34

7 commentaire(s)

lundi, novembre 06, 2006


J'ai fait un rêve.

Mon corps et le sien parcouraient deux pays de bouddhisme. Le riz en abondance engourdissait nos appétits naissants et le thé au lotus comblait nos papilles englouties dans le temple de nos palais, assoiffées d’odeur et d’arômes.

Corps et âme éperdument amoureux, nos pupilles dilatées admiraient des paysages de vert et de mystère.

Odeurs étrangères émanant d’architecture millénaire et couleur d’épiderme berbère nous frôlaient dans cette danse humaine qui jamais ne serait plus la même pour nous.

L'âme humaine n'a pas grand chose à offrir de plus que ces paysages de pierre et de lierre, que ces cités magiques où nos corps, portés par tant de richesse s’emplissent d’images à jamais gravées dans notre mémoire.

Douce folie,rêve inimaginable et éloge du fonctionnaire abasourdie par tant de beauté et de merveilleux...

Écumé par La contemporaine contemple
05:43

8 commentaire(s)

dimanche, novembre 05, 2006




Chers écumeurs, notre voyage d'aujourd'hui sera très court car ma connection à l'internet présente des faiblesses, des bugs (aléas des séjours à l'hôtel).
Le grand marathon a ramené toute une faune étrangère dans Big Apple. Hier, en me promenant sur Broadway, j'ai surtout entendu parler français.
Côté trouvailles sur la blogosphere, c'est plutôt le néant. Néanmoins les élucubrations d'une suissesse valent le détour. Elle s'appelle MariaPia et se trouve actuellement à la Nouvelle Orléans mais ses chroniques sur New York sont décapantes.

Écumé par Miss_Blandish
09:20

2 commentaire(s)

samedi, novembre 04, 2006


Vous êtes nombreux à venir nous visiter. Nous vous remercions tous.

Ne vous gênez surtout pas de nous suggérer votre blogue ou encore ceux de vos amis.

C'est samedi. C'est le temps de ne rien faire !

Écumé par Perrasite
18:50

3 commentaire(s)

vendredi, novembre 03, 2006



Entre
les plages d’automnes et le ciel brouillé d’hiver, ô temps suspend ton vol effet mer.
Aveugle cri.
Car le silence se meurt heurté contre l’écrin versatile des arbres d’envies.
Et neige livide morosité.
Les pas perdus d’amertumes suspendues sur les jours défaite.
Tant d’heures disparues parmi les ombres délavées des saisons déficientes, en équilibre sur nos jointures éraflées.
Etoiles buissonnières sur les yeux, la solitude boomerang sans cesse.
La lune cassis sur le ciel clair giflant le soleil des autres traîne d’absences du bonheur.
Regardant le temps qui passe sur les chaussées assourdis.
Et la main gauche sidérée voudrait tant se perdre désarmant la toile filante des instants qui impassibles s’écument.

Écumé par Charlie
06:46

6 commentaire(s)

Crime de lèche majesté. Punishing-me.

jeudi, novembre 02, 2006


Écumé par Anonyme
06:09

9 commentaire(s)

mercredi, novembre 01, 2006


Écumé par Perrasite
05:06

6 commentaire(s)

© 2006 L'Écume des blogues | Blogger Templates by GeckoandFly
No part of the content or the blog may be reproduced without prior written permission.
Learn how to Make Money Online at GeckoandFly