La lumière du matin s’effeuille larmes automnales.
Rouges sable sanglots, des saisons juxtaposées sur les gerçures des heures.
Et à nu le temps, artifices sous verre l’errance de nos blêmes lendemains.
Pourtant, l’amour poésie vulnérables couleurs vies.
Pluriels espoirs.
Croix et décroisés , les secondes anémiées.
Bancals couplets à nos pieds, noircissant les feuilles périssables des aubes mélodies en fuite.
Cataleptiques chants sous les commissures bleuit des nuits désolations.
Car au-delà des visibles envolés, brume l’amer au fond d’un vers solitude.
6 Commentaire(s) :
Mélancolique Di.
Plume nuages gris, vers foncés.
(Faudrait que je pense à aiguiser mes crayons dentelles de temps en temps)
xxx
à larme blanche du gris,
souffle dessus et le ciel s'éclaircit
à l'intense des mots d'ici,
mes yeux d'esprit libre disent merci
Au fond du verre, un grain sable bravo.
Eille. café déesse ?
Troublante sensation, très doux mots Di. Oui café svp.. ;)
Près d'une flamme a si brûler mais aucune chaleur n'y etant degager. Nous tentons d'en retrouver l'étincelle endiabler qui pendant tant de nuit nous a reuni. Aurait-'il failli, ou n'est-ce que de simple hazard qun silence non souhaiter venant inondé la berge de nos esperences, fut au rendez-vous. Nul âme ne sait manier de tel mots que celle présente ici. Puis-je esperer a nouveau, partager un moment avec elle ?
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