Je travaillais dans le coton . Vous savez, le petit coton, celui qui est tout doux, parfait et pur. Étant professionnelle dans le milieu depuis des années, je savais pertinemment par contre qu'il n'y avait rien comme la mousse de nombril de mâles pour fabriquer des petits oreillers douillets que je coinçais entre mes orteils toutes les nuits par pure fantaisie.
C'est un lundi que je rencontrai cet homme. Dès le premier contact, mon regard se dirigea vers son ventre . Le chandail moulant qu'il portait me permettait de constater que son nombril était un abîme creux et sans fin et que mousses abondantes il y aurait.
Je l'amenai donc au resto et le gavai d'escargots aux tomates épicées avant de le ramener chez moi. La porte franchie, je me permis d'arracher ses vêtements, de l'étendre sur mon lit et de fourrer délicatement mon index dans son trou béant.
-Pas ça, me dit-il.
Je glissai donc mon visage tout le long de son torse laissant ma langue sillonner sa peau telle une larve fuyante. Je descendis pour retrouver son trou et ma langue pénétra violemment son orifice fouillant sur son périmètre à la recherche de présence de mousses.
Une masse énorme se logea en ma bouche. Je la fis rouler avec ma langue et l'extirpa pour la glisser discrètement en lieu sûr.
-J'en ai fini avec toi, lui dis-je.
C'est un lundi que je rencontrai cet homme. Dès le premier contact, mon regard se dirigea vers son ventre . Le chandail moulant qu'il portait me permettait de constater que son nombril était un abîme creux et sans fin et que mousses abondantes il y aurait.
Je l'amenai donc au resto et le gavai d'escargots aux tomates épicées avant de le ramener chez moi. La porte franchie, je me permis d'arracher ses vêtements, de l'étendre sur mon lit et de fourrer délicatement mon index dans son trou béant.
-Pas ça, me dit-il.
Je glissai donc mon visage tout le long de son torse laissant ma langue sillonner sa peau telle une larve fuyante. Je descendis pour retrouver son trou et ma langue pénétra violemment son orifice fouillant sur son périmètre à la recherche de présence de mousses.
Une masse énorme se logea en ma bouche. Je la fis rouler avec ma langue et l'extirpa pour la glisser discrètement en lieu sûr.
-J'en ai fini avec toi, lui dis-je.
-Mais je sentais si bien ta langue, me répondit-il...
Il me fut très pénible dans les instants suivants, de le foutre à la porte. Alors messieurs-dames, si vous croisez cet homme, méfiez-vous...il fabule sur les langues, il vous dira même qu'il a senti la vôtre même si elle n'a pas effleuré son corps...
12 Commentaire(s) :
Le soir où il sentit ma langue: Premier voyage ici. (sourire)
"...il fabule sur les langues, il vous dira même qu'il a senti la vôtre même si elle n'a pas effleuré son corps..."
Eh bien moi, je sens bien que ces mots me plaisent.
Non L'Or, la mousse n'était pas de qualité. Tu vois, cet être porte des cotons ouatés gris avec des personnages de Walt Disney en relief et ce type de vêtement donne des mousses de moche qualité.
au moins c'était pas un coton ouaté avec des loups! parce qu'en plus ça laisse des poils.
excellent madame, comme d'habitude :)
@ Nina: merci, c'est bien gentil!!!
@ L'Or: je préfère le jeans-T-shirt. Et puis pour la cravate, faudrait que tu fasses un billet sur la chose car ça me semble intéressant!
@ Swan: Pouahhh, effectivement, surtout que cette zone comporte déjà des poils! Merci Swan!
à la fois dégueulasse et sensuel, tout un exploit! :)
you've been linked :)
Merci Superk, mais dis-moi, que veux-tu dire par LMAO...?
Merci pour le linked! Ché pas c'est quoi mais bon.
Allez, bonne soirée!
C'est simple, la cravate mène à la mousse. Comme dans "veux-tu faire la mousse avec moi ?"
Je connais qq'un qui se tricotte des chandails en poils de son chien.... à quand les chandails en mousse de nombril dites-moi.
Dopa, si on se met à deux pour la récolte, on se fait des pantoufles pour Noel ok?
Pierre qui roule n'amasse pas mousse, mais langue qui cherche trouve son 75 pouces !
Utilisateur anonyme, ce blogue en est un très sérieux, s.v.p. allez répondre votre excès de testostérone en autre lieu.
Votre imaginaire décimal nous fait certainement baver mais votre anonymat nous refroidit un peu trop...
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